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Lundi 21 juin 2010 – 9 Tammuz 5770
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A l’heure où la Turquie, l’Iran et la Syrie développent un véritable trio de dictatures, l'évêque catholique de Cordoue (Espagne), Mgr Demetrio Fernández, refuse catégoriquement de laisser les musulmans prier dans sa cathédrale. Jadis, avant de devenir, certes, une mosquée, sa cathédrale était déjà un lieu de culte chrétien. Concrètement, c'était la basilique de San Vicente. Les musulmans l'ont occupée, ils l’ont agrandie, ils y ont mis de l'argent. Mais les architectes de la basilique devenue mosquée venaient de Damas (Syrie). Ces architectes étaient tous chrétiens. L'architecture n'a donc jamais été islamique. En clair, l’actuelle cathédrale Santa Maria de Cordoba (Cordoue), fut certes une mosquée dans le passé. Mais une mosquée qui, avant de devenir une mosquée, était déjà une basilique, celle de San Vicente. Soyons ici très clairs : qu’il s’agisse de temples, d’églises ou de synagogues, les régimes mahométans se livrent régulièrement à des falsifications historiques, endossées par nos dirigeants, par nos médias et hélas, part une partie de nos autorités religieuses. A ce propos, je tombe sur un article de Paolo Rodari, publié dans Il Foglio, article que je reproduis ci-dessous et qui donne un éclairage très intéressant sur cette affaire que nos politiciens et nos médias ont abondamment déformée. Il s’agit donc ici d’un témoignage à lire et à diffuser sans modération !
Michel Garroté
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L'évêque de Cordoue dit catégoriquement non à l'islamisation
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Paolo Rodari
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dans Il Foglio du mercredi 16 juin 2010
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L'évêque de Cordoue (Espagne), Mgr Demetrio Fernández déclare que « l'Eglise catholique en Europe doit être plus éveillée et plus vigilante. L'Islam avance et les évêques ne me semblent pas préparés. Moi aussi, dans la ville de Cordoue, dit l’évêque de Cordoue, j'essaie de résister comme je peux. D'opposer une résistance, une digue, mais ce n'est pas facile. Souvent, je repense à la question que Benoît XVI a posée aux évêques espagnols (je venais d'être nommé évêque de Tarragone) en 2005 lorsque nous avons été reçus au Vatican au cours d'une audience ad limina : ‘Que pensez-vous faire avec les musulmans ?’. Personne ne pouvait répondre. Moi aussi, à l’époque, J'avais dit : ‘Nous ne savons pas’. Et encore aujourd'hui, malheureusement, de nombreux évêques disent : ‘Nous ne savons pas’ ».
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L’évêque de Cordoue, qui depuis 2005 a évolué, ajoute : « L'Islam progresse en Europe. Les musulmans ont souvent le soutien de nos gouvernements laïques. Ils exploitent des canaux d'immigration vers l'Europe que nos gouvernements tracent pour eux. Ils arrivent, ils font des enfants, ils s'enracinent. Et nous ? Nous ne savons pas comment nous comporter. Il arrive que nous acceptions la plupart de leurs demandes. Certaines d'entre elles sont légitimes, d'autres non, comme la prière dans nos cathédrales, comme ils veulent le faire dans notre Santa Maria de Cordoba (la cathédrale de Cordoue). Souvent, nous offrons des espaces de dialogue qui ont peu de sens. Ou plutôt, qui sont dépourvus de bon sens. En résumé : nous cédons. Et ce n'est pas juste », précise l’évêque de Cordoue.
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Mgr Demetrio Fernández est évêque de Cordoue depuis février 2010. Son mandat en Andalousie a été l'objet de l'attention des médias du monde entier. Ces jours-ci, ses prises de position contre l'islam font beaucoup parler. En particulier, le « non » qu'il a répété aux musulmans qui veulent prier dans la cathédrale de la ville, la ‘mosquée’. Parmi les gouvernements favorables aux musulmans, il y a celui de Luis Zapatero. Mgr Fernandez dit : « Zapatero a un projet précis avec l'islam. Et malheureusement, ce projet concerne Cordoue. Il entend faire de la ville le centre de cette alliance des civilisations à laquelle toutes les religions se plieront. Il porte avec la Turquie la réalisation de ce projet sans se rendre compte de ce que Cordoue signifie pour les Turcs, pour les musulmans. Leur rêve est de récupérer la ville. D'occuper la cathédrale. D'innerver toute l'Europe de leur présence » (Note de Michel Garroté : Zapatero, Premier ministre socialiste espagnol, dont les filles s’habillent « gothique », en fait elles s’habillent tout en en noir de la tête aux pieds, ce qui n’est très gothique, Zapatero donc, a-t-il le niveau de connaissance suffisant pour créer une alliance des civilisations à laquelle toutes les religions se plieront, toutes sauf bien sûr l’islam ?).
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Mgr Demetrio Fernández enchaîne : « Zapatero voudrait que l'Eglise catholique s'adapte à ce projet. Mais nous ne pouvons pas adhérer à son alliance. Parce que son idée est celle d'une alliance sans Dieu, dont Dieu est totalement exclu. Une alliance où notre identité doit faire une seule chose : disparaître. Il y a deux mois, à Cordoue, Zapatero a lancé la première rencontre de cette alliance. Initialement, le Premier ministre espagnol pensait que le Vatican adhérerait. Et en effet, au début, le Saint-Siège n'a pas envoyé de messages très clairs. Et puis nous nous sommes concertés, nous avons parlé, et le Vatican a lui aussi compris de quoi il s'agissait, et n'a envoyé personne ».
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Mgr Demetrio Fernández insiste : « Zapatero s'est contenté des propos de l'Archevêque de Madrid, le Cardinal Antonio Maria Rouco Varela, qui lorsqu'on lui a demandé si l'Eglise allait participer au sommet, a déclaré : ‘absolument pas’. Pourquoi ne veut-il pas permettre aux musulmans de prier dans la cathédrale ? Parce que c'est un chantage qui n'est pas justifié. Les musulmans demandent de pouvoir prier, disant que pendant quatre siècles, cette cathédrale était à eux, et que la splendeur architecturale de la cathédrale, on la doit à eux, à leur intervention. Je conteste les deux arguments. Avant de devenir une mosquée, notre cathédrale était un lieu de culte chrétien. C'était la basilique de San Vicente ».
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Mgr Demetrio Fernández clarifie : « Les musulmans l'ont occupée et agrandie. Ils y ont mis de l'argent. Beaucoup d'argent. Mais les architectes venaient de Damas (Syrie). Ils étaient tous chrétiens. L'architecture n'a rien d'islamique. Au contraire, elle a des influences chrétiennes. C'est un malentendu culturel de dire que la mosquée est un exemple de l'architecture islamique. De musulman, elle n'a rien d'autre que l'argent que l'islam y a mis. Aujourd'hui, les musulmans et beaucoup de gens qui font partie de l'intelligentsia laïque du pays, disent à l'Eglise catholique : ‘Laissez les musulmans prier dans la cathédrale en signe d'ouverture et d'amitié’. Moi, je leur dis qu'il n'est possible d'accorder cet ‘uso compartido’ (usage partagé) et pour cela, ils m'accusent de fondamentalisme » (Note de Michel Garroté : un juif dans la foi est forcément un juif « ultra-religieux ; un chrétien dans la foi est forcément un « fondamentaliste » ou un « intégriste » ; en revanche, un musulman qui applique le coran à la lettre n’est qu’un brave « islamiste modéré » ; un terroriste islamique n’est qu’un « activiste » ; le bien devient « mal » ; le mal devient « bien » ; et mes fesses sont des « cuisses de poulet » runtudju).
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Mgr Demetrio Fernández conclut : « Au contraire, je suis catholique, et je défends le droit des catholiques à rester dans leur cathédrale. Si aujourd'hui, je concède aux musulmans de prier une fois par mois, l'année prochaine, ils voudront prier une fois par semaine. Puis ils consacreront le lieu de culte et ne permettront plus à quiconque d'y entrer. Comment faire pour définir le dialogue de l'Eglise avec l'islam ? Il faut revenir au synode spécial de 1985 lors duquel le Pape Wojtyla (Jean-Paul II) a expliqué la juste interprétation du dialogue inter-religieux, dialogue mentionné par le Concile Vatican II » (Note de Michel Garroté : et concernant spécifiquement le dialogue avec l’islam, le Concile Vatican II implique un dialogue avec l’islam dans le prolongement des Conciles antérieurs et non pas en opposition ou en contradiction avec les Conciles antérieurs ; lorsque la doctrine de l’Eglise est bien comprise, elle implique de reconnaître la filiation du christianisme au judaïsme ; mais elle n’implique en aucun cas de considérer que l’islam fait partie des religions de la Parole).
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« Après le Concile Vatican II, il y a eu trop d'ouvertures maladroites. Les musulmans doivent être accueillis, mais de la juste façon », termine Mgr Demetrio Fernández (Note de Michel Garroté : trop d'ouvertures maladroites en France notamment, où la fin du Concile Vatican II a coïncidé avec Mai 68 ; de nombreux prêtres, au lieu de lire les textes du Concile Vatican II, ont lus les inepties écrites par des chrétiens de gauche, dans le quotidien ‘Le Monde’ par exemple).
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Source :
http://www.paolorodari.com/...
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Traduction :
http://benoit-et-moi.fr/2010-II/0455009d6b0fa2a05/0455009d9d08fe101.html
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Adaptation et commentaires :
Michel Garroté
http://monde-info.blogspot.com/
http://drzz.info/
http://alljci.blogspot.com/
http://cathophile.blogspot.com/
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Lundi 21 juin 2010 – 9 Tammuz 5770
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A l’heure où la Turquie, l’Iran et la Syrie développent un véritable trio de dictatures, l'évêque catholique de Cordoue (Espagne), Mgr Demetrio Fernández, refuse catégoriquement de laisser les musulmans prier dans sa cathédrale. Jadis, avant de devenir, certes, une mosquée, sa cathédrale était déjà un lieu de culte chrétien. Concrètement, c'était la basilique de San Vicente. Les musulmans l'ont occupée, ils l’ont agrandie, ils y ont mis de l'argent. Mais les architectes de la basilique devenue mosquée venaient de Damas (Syrie). Ces architectes étaient tous chrétiens. L'architecture n'a donc jamais été islamique. En clair, l’actuelle cathédrale Santa Maria de Cordoba (Cordoue), fut certes une mosquée dans le passé. Mais une mosquée qui, avant de devenir une mosquée, était déjà une basilique, celle de San Vicente. Soyons ici très clairs : qu’il s’agisse de temples, d’églises ou de synagogues, les régimes mahométans se livrent régulièrement à des falsifications historiques, endossées par nos dirigeants, par nos médias et hélas, part une partie de nos autorités religieuses. A ce propos, je tombe sur un article de Paolo Rodari, publié dans Il Foglio, article que je reproduis ci-dessous et qui donne un éclairage très intéressant sur cette affaire que nos politiciens et nos médias ont abondamment déformée. Il s’agit donc ici d’un témoignage à lire et à diffuser sans modération !
Michel Garroté
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L'évêque de Cordoue dit catégoriquement non à l'islamisation
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Paolo Rodari
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dans Il Foglio du mercredi 16 juin 2010
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L'évêque de Cordoue (Espagne), Mgr Demetrio Fernández déclare que « l'Eglise catholique en Europe doit être plus éveillée et plus vigilante. L'Islam avance et les évêques ne me semblent pas préparés. Moi aussi, dans la ville de Cordoue, dit l’évêque de Cordoue, j'essaie de résister comme je peux. D'opposer une résistance, une digue, mais ce n'est pas facile. Souvent, je repense à la question que Benoît XVI a posée aux évêques espagnols (je venais d'être nommé évêque de Tarragone) en 2005 lorsque nous avons été reçus au Vatican au cours d'une audience ad limina : ‘Que pensez-vous faire avec les musulmans ?’. Personne ne pouvait répondre. Moi aussi, à l’époque, J'avais dit : ‘Nous ne savons pas’. Et encore aujourd'hui, malheureusement, de nombreux évêques disent : ‘Nous ne savons pas’ ».
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L’évêque de Cordoue, qui depuis 2005 a évolué, ajoute : « L'Islam progresse en Europe. Les musulmans ont souvent le soutien de nos gouvernements laïques. Ils exploitent des canaux d'immigration vers l'Europe que nos gouvernements tracent pour eux. Ils arrivent, ils font des enfants, ils s'enracinent. Et nous ? Nous ne savons pas comment nous comporter. Il arrive que nous acceptions la plupart de leurs demandes. Certaines d'entre elles sont légitimes, d'autres non, comme la prière dans nos cathédrales, comme ils veulent le faire dans notre Santa Maria de Cordoba (la cathédrale de Cordoue). Souvent, nous offrons des espaces de dialogue qui ont peu de sens. Ou plutôt, qui sont dépourvus de bon sens. En résumé : nous cédons. Et ce n'est pas juste », précise l’évêque de Cordoue.
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Mgr Demetrio Fernández est évêque de Cordoue depuis février 2010. Son mandat en Andalousie a été l'objet de l'attention des médias du monde entier. Ces jours-ci, ses prises de position contre l'islam font beaucoup parler. En particulier, le « non » qu'il a répété aux musulmans qui veulent prier dans la cathédrale de la ville, la ‘mosquée’. Parmi les gouvernements favorables aux musulmans, il y a celui de Luis Zapatero. Mgr Fernandez dit : « Zapatero a un projet précis avec l'islam. Et malheureusement, ce projet concerne Cordoue. Il entend faire de la ville le centre de cette alliance des civilisations à laquelle toutes les religions se plieront. Il porte avec la Turquie la réalisation de ce projet sans se rendre compte de ce que Cordoue signifie pour les Turcs, pour les musulmans. Leur rêve est de récupérer la ville. D'occuper la cathédrale. D'innerver toute l'Europe de leur présence » (Note de Michel Garroté : Zapatero, Premier ministre socialiste espagnol, dont les filles s’habillent « gothique », en fait elles s’habillent tout en en noir de la tête aux pieds, ce qui n’est très gothique, Zapatero donc, a-t-il le niveau de connaissance suffisant pour créer une alliance des civilisations à laquelle toutes les religions se plieront, toutes sauf bien sûr l’islam ?).
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Mgr Demetrio Fernández enchaîne : « Zapatero voudrait que l'Eglise catholique s'adapte à ce projet. Mais nous ne pouvons pas adhérer à son alliance. Parce que son idée est celle d'une alliance sans Dieu, dont Dieu est totalement exclu. Une alliance où notre identité doit faire une seule chose : disparaître. Il y a deux mois, à Cordoue, Zapatero a lancé la première rencontre de cette alliance. Initialement, le Premier ministre espagnol pensait que le Vatican adhérerait. Et en effet, au début, le Saint-Siège n'a pas envoyé de messages très clairs. Et puis nous nous sommes concertés, nous avons parlé, et le Vatican a lui aussi compris de quoi il s'agissait, et n'a envoyé personne ».
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Mgr Demetrio Fernández insiste : « Zapatero s'est contenté des propos de l'Archevêque de Madrid, le Cardinal Antonio Maria Rouco Varela, qui lorsqu'on lui a demandé si l'Eglise allait participer au sommet, a déclaré : ‘absolument pas’. Pourquoi ne veut-il pas permettre aux musulmans de prier dans la cathédrale ? Parce que c'est un chantage qui n'est pas justifié. Les musulmans demandent de pouvoir prier, disant que pendant quatre siècles, cette cathédrale était à eux, et que la splendeur architecturale de la cathédrale, on la doit à eux, à leur intervention. Je conteste les deux arguments. Avant de devenir une mosquée, notre cathédrale était un lieu de culte chrétien. C'était la basilique de San Vicente ».
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Mgr Demetrio Fernández clarifie : « Les musulmans l'ont occupée et agrandie. Ils y ont mis de l'argent. Beaucoup d'argent. Mais les architectes venaient de Damas (Syrie). Ils étaient tous chrétiens. L'architecture n'a rien d'islamique. Au contraire, elle a des influences chrétiennes. C'est un malentendu culturel de dire que la mosquée est un exemple de l'architecture islamique. De musulman, elle n'a rien d'autre que l'argent que l'islam y a mis. Aujourd'hui, les musulmans et beaucoup de gens qui font partie de l'intelligentsia laïque du pays, disent à l'Eglise catholique : ‘Laissez les musulmans prier dans la cathédrale en signe d'ouverture et d'amitié’. Moi, je leur dis qu'il n'est possible d'accorder cet ‘uso compartido’ (usage partagé) et pour cela, ils m'accusent de fondamentalisme » (Note de Michel Garroté : un juif dans la foi est forcément un juif « ultra-religieux ; un chrétien dans la foi est forcément un « fondamentaliste » ou un « intégriste » ; en revanche, un musulman qui applique le coran à la lettre n’est qu’un brave « islamiste modéré » ; un terroriste islamique n’est qu’un « activiste » ; le bien devient « mal » ; le mal devient « bien » ; et mes fesses sont des « cuisses de poulet » runtudju).
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Mgr Demetrio Fernández conclut : « Au contraire, je suis catholique, et je défends le droit des catholiques à rester dans leur cathédrale. Si aujourd'hui, je concède aux musulmans de prier une fois par mois, l'année prochaine, ils voudront prier une fois par semaine. Puis ils consacreront le lieu de culte et ne permettront plus à quiconque d'y entrer. Comment faire pour définir le dialogue de l'Eglise avec l'islam ? Il faut revenir au synode spécial de 1985 lors duquel le Pape Wojtyla (Jean-Paul II) a expliqué la juste interprétation du dialogue inter-religieux, dialogue mentionné par le Concile Vatican II » (Note de Michel Garroté : et concernant spécifiquement le dialogue avec l’islam, le Concile Vatican II implique un dialogue avec l’islam dans le prolongement des Conciles antérieurs et non pas en opposition ou en contradiction avec les Conciles antérieurs ; lorsque la doctrine de l’Eglise est bien comprise, elle implique de reconnaître la filiation du christianisme au judaïsme ; mais elle n’implique en aucun cas de considérer que l’islam fait partie des religions de la Parole).
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« Après le Concile Vatican II, il y a eu trop d'ouvertures maladroites. Les musulmans doivent être accueillis, mais de la juste façon », termine Mgr Demetrio Fernández (Note de Michel Garroté : trop d'ouvertures maladroites en France notamment, où la fin du Concile Vatican II a coïncidé avec Mai 68 ; de nombreux prêtres, au lieu de lire les textes du Concile Vatican II, ont lus les inepties écrites par des chrétiens de gauche, dans le quotidien ‘Le Monde’ par exemple).
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Source :
http://www.paolorodari.com/...
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Traduction :
http://benoit-et-moi.fr/2010-II/0455009d6b0fa2a05/0455009d9d08fe101.html
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Adaptation et commentaires :
Michel Garroté
http://monde-info.blogspot.com/
http://drzz.info/
http://alljci.blogspot.com/
http://cathophile.blogspot.com/
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