mercredi 21 novembre 2012

L’Alliance Judéo Chrétienne pour Israël dénonce les médias français

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L’Alliance Judéo Chrétienne pour Israël (AJCI) fondée en 2010 déplore et dénonce les termes et les arguments utilisés dans de nombreux médias français, suite aux innombrables tirs de roquettes, d’obus et de missiles, par des terroristes, depuis la Bande de Gaza, sur des localités civiles à l’intérieur des frontières d’Israël, y compris sur Jérusalem et sur Tel-Aviv. Sans oublier l’attentat perpétré ce mercredi 21 novembre 2012 contre un bus à Tel-Aviv qui a blessé au moins 17 civils dont certains gravement.
L’AJCI déplore et dénonce le fait que de nombreux médias français parlent « d’engins tirés vers Israël par des activistes » alors qu’il s’agit d’innombrables tirs de roquettes, d’obus et de missiles, tirs effectuées par des terroristes, depuis la Bande de Gaza, sur des civils, femmes et enfants, obligés de se terrer dans des abris. L’AJC s’étonne que de nombreux médias français, lorsqu’ils mentionnent ces tirs, ne le font que pour évoquer et dramatiser les ripostes légitimes et ciblées effectuées par l’Etat d’Israël.
L’AJCI interviendra à l’avenir chaque fois que des médias français utiliseront des termes et des arguments qui minimisent le drame vécu par six millions de Juifs vivant à l’intérieur des frontières d’Israël. Car en effet, les Droits de l’Homme valent également pour les civils juifs israéliens ; et non pas uniquement, pour d’autres populations proche-orientales et moyen-orientales, au demeurant gouvernées par des dirigeants qui se moquent éperdument des Droits de l’Homme.
Etant donné la situation de guerre permanente qui sévit depuis 1948, malgré la restitution du Sinaï et de Gaza et malgré le retrait du Sud-Liban, l’objectif de l’AJCI à court, moyen et long terme est de rassembler des Juifs et des Chrétiens, ainsi que des athées et des agnostiques, qui se reconnaissent, d’une part, dans le concept de société libre et laïque de culture judéo-chrétienne ; et d’autre part, dans l’amitié indéfectible et le soutien concret au peuple israélien, et donc, aussi, à Israël, en sa qualité d’Etat hébreu, dans des frontières réellement défendables.
Au stade actuel, qui est de plus en plus conflictuel, l'AJCI juge irréaliste et déraisonnable qu'Israël se retire des territoires disputés de Judée et de Samarie dits « Cisjordanie ». Car en effet, de plus en plus, des Etats musulmans, notamment l’Iran, le Qatar, la Turquie et l’Egypte, adoptent des positions et tiennent des propos dans les médias de leurs pays qui révèlent une volonté claire, non pas d’obtenir une « trêve », mais n’anéantir le peuple juif israélien. A cet égard, la position adoptée par la France est à l’inverse de celle des Etats-Unis, du Canada et de plusieurs pays membres de l’Union Européenne, qui eux, ont l’honnêteté d’incriminer le Hamas comme responsable de ce nouveau conflit.
A ce jour, les membres de l’AJCI résident dans les pays suivants : Afrique du Sud, Belgique, Canada, Chine, Etats-Unis, France, Israël, Niger, Saint Martin, Suisse et Turquie.

vendredi 1 juin 2012

Le terroriste Ahmad Abu Naser assassine un jeune soldat israélien


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Le terroriste palestinien Ahmad Abu Naser, membre du Saraya Al Quds, la branche militaire du Islamic Jihad, s’est infiltré depuis la bande de Gaza contrôlée par le Hamas et a assassiné au petit matin, profitant du brouillard, un jeune soldat israélien âgé de 20 ans. L’identité du jeune israélien n’a pas encore été communiquée par Tsahal. Nous, l’Alliance Judéo-Chrétienne pour Israël http://alljci.blogspot.ch/ nous présentons nos sincères condoléances à la famille et aux amis de ce jeune, lâchement assassiné par surprise.
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mercredi 9 mai 2012

L’incroyable parcours d’Eichmann bureaucrate de la Shoah


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Michel Garroté – Hier soir, mardi 8 mai 2012, sur la chaîne télévisée allemande 3SAT (http://www.3sat.de), j’ai regardé une série de documentaires et de films historiques relatant le parcours d’Adolf Eichmann (cf. les liens en bas de page ; l’un des documentaires a été réalisé par Raymond Lay en 2010 et je l’ai découvert hier soir ; autrement dit en 2012 pour la première fois). Je m’intéresse à l’histoire du 20e siècle depuis longtemps, et, néanmoins, chaque documentaire, m’apporte son lot de faits inédits.

Hier soir sur 3SAT, j’ai appris bien des choses que je ne connaissais qu’en partie. Et des choses dont j’ignorais certains aspects importants, ou même, déterminants (la série de documentaires et de films historiques datant de 2010 et relatant le parcours d’Adolf Eichmann ayant été retransmise par 3Sat hier soir, je n’exclus pas qu’elle ait déjà été ou qu’elle soit un jour diffusée en français par la chaîne franco-allemande ARTE).

Je suis souvent frappé de voir que la réalité dépasse la fiction. Et je suis souvent frappé de voir que certains des plus heureux des hasards conservent – tout de même – une part de miracle, pour les croyants, ou, de mystère, pour les athées. Ainsi en va-t-il de l’identification et de la capture – providentielles – d’Adolf Eichmann, en Argentine.

Le parcours d’Adolf Eichmann a – naturellement et avant tout – quelque chose d’atroce, dans ses conséquences tragiques, pour les Juifs d’Europe, dès 1933 et jusqu’en 1945. En même temps, les circonstances de la fuite d’Adolf Eichmann, puis sa façon de nier, au tribunal, son énorme responsabilité, ont quelque chose de pathétique.

Je me dis souvent, à moi-même, que si des gens comme Eichmann ont pu faire une carrière politique au 20e siècle, il y a sans doute des hommes comme lui qui font une carrière politique au 21e siècle. Quels sont-ils ? Ou sont-ils ? Dans combien de temps et comment seront-ils jugés par l’histoire ? Quel sort l’avenir réserve-t-il aux dictateurs nord-coréens, soudanais, iraniens, vietnamiens ?

Revenons à Eichmann. Il vit donc avec sa famille, en Argentine, dès le début des années 1950, sous divers noms, y compris le nom de Ricardo Klement. A l’époque, le pays où il se cache aurait refusé de l’extrader si la demande lui en avait été faite. Car à ce moment-là, l’Argentine accueille deux sortes d’Allemands : des Juifs Allemands, notamment des Juifs Allemands rescapés de la Shoah ; mais aussi des nazis Allemands, dont Eichmann. Le hasard auquel j’ai fait allusion plus haut est celui de la rencontre en Argentine entre une jeune fille juive allemande, Silvia Hermann, et un jeune homme allemand, un certain Nick Klement.

Le père de Silivia s’appelle Lothar Hermann, un Juif Allemand rescapé de la Shoah. Le père de Nick Klement s’appelle en réalité Adolf Eichmann, alias Ricardo Klement. Il y avait sans doute une probabilité sur un million que la fille de Lothar Hermann rencontre et tombe amoureuse de Nick Klement, le fils d’Adolf Eichmann. Du reste, Lothar Hermann ne tarde pas à enquêter sur ce jeune Nick Klement. Et Lothar Hermann finit par acquérir la conviction – et c’était bien la vérité – que Nick n’est autre que le fils d’Adolf Eichmann. Silvia doit affronter la dure réalité : elle était tombée amoureuse du fils du bureaucrate de la Shoah, ni plus, ni moins.

Lothar Hermann, à force d’envoyer lettres et photos, parvient à convaincre le procureur de la République Fédérale d’Allemagne Fritz Bauer qu’Eichmann se cache en Argentine. Fritz Bauer craint que la République Fédérale d’Allemagne n’ait ni les moyens, ni le désir, d’enlever Eichmann en Argentine et de le juger en Allemagne. Du reste, comme mentionné plus haut, l’Argentine aurait refusé d’extrader Eichmann. Fritz Bauer décide alors d’informer le Mossad par l’intermédiaire d’un membre de la communauté juive de Köln (Cologne). Le Mossad est embarrassé. Il ne dispose pas vraiment, à l’époque, des moyens logistiques nécessaires pour enlever Eichmann en Argentine et l’emmener en Israël.

Plus tard, la décision est prise : le Mossad va faire ce qu’il doit faire. Dans des conditions à la fois extrêmement difficiles et totalement rocambolesques, les agents du Mossad parviennent finalement à s’emparer d’Eichmann en Argentine et à le livre à la justice israélienne, au début des années 1960. Mais qui était véritablement le nazi Adolf Eichmann ?

Après la Seconde Guerre mondiale, Eichmann, dans le plus grand secret, accorde une longue série d’entretiens à un certain Willem Sassen. Enregistrés sur bande magnétique, ces entretiens sont par la suite publiés sous forme écrite. Eichmann y défend l’extermination des Juifs d’Europe par le régime national-socialiste. Eichmann explique que l’objectif était de purifier le sang allemand. Et que l’extermination des Juifs, pour parvenir à cet acte purificateur, cette extermination ne l’intéresse pas, en elle-même. Mais qu’elle l’intéresse seulement dans la mesure où elle permet d’atteindre l’objectif fixé.

La seule chose qui l’intéresse, dit Eichmann, c’est la nécessité  selon lui  de purifier le sang allemand, de déjudaïser et d’aryaniser le sang allemand. La logique génocidaire est impressionnante : elle va jusqu’à différencier les « juden », les « halb-juden » et les « misch-juden ». Eichmann, dans ses entretiens avec Willem Sassen, insiste sur le fait que ses éventuels sentiments personnels, bons ou mauvais, sur la barbarie de la Shoah n’ont strictement aucune importance, aucune valeur.

La seule chose qui l’a motivé, raconte Adolf Eichmann à Willem Sassen, c’est que le sang allemand devait être purifié de toute impureté et que l’impureté était juive tout simplement. Que la Shoah en ait été la conséquence inéluctable, dit-il, ne l’intéresse pas. Surprenant, de la part de l’homme qui a participé – au plus haut niveau – à l’organisation logistique, de la déportation et de l’extermination, de six millions de Juifs. Son seul regret : le travail n’a pas été accomplis jusqu’au bout ; car en effet, selon Eichmann, il eut fallu exterminer 11 millions de Juifs Européens pour que le national-socialisme parvienne à triompher. Ce qui n’empêchera pas le même Eichmann de plaider, des années plus tard, lors de son procès en Israël, qu’il était « non coupable »…

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Michel Garroté

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Copyright Michel Garroté 2012 & Sources citées

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mardi 20 mars 2012

La tuerie de Toulouse selon SOS Racisme et Catherine Ashton

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MG - Au Grand Journal, sur Canal+, un leader de SOS Racisme a sous-entendu que la tuerie de Toulouse serait, selon lui, en quelque sorte le résultat du discours tenu depuis des années par le Front National. Le tueur de masse serait, en plus, un néonazi. Voilà pour l’ambiance.
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Cet incroyable négationnisme de SOS Racisme est vertement critiqué par Ivan Rioufol : « Dans un communiqué, SOS Racisme suggère de "s'interroger sur l'affaissement dans notre pays de la parole politique, intellectuelle et médiatique envers les discours racistes et en faveur des discours de vivre ensemble". Cette organisation, mise au service de la défense des minorités ethniques, pourrait aussi bien s'interroger sur sa propre responsabilité dans la mise en scène des concurrences victimaires et sur son aveuglement face aux dérives communautaristes encouragées par l'idéologie différentialiste. En 2000, les antiracistes professionnels n'avaient rien voulu voir de la montée du sentiment anti-juif dans les cités. Se précipiter ainsi pour faire la leçon relève de l'indécence », conclut Ivan Rioufol.
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Car, effet, le sang juif qui a coulé depuis la Deuxième guerre mondiale ne l’a pas été des mains de l’extrême-droite. L'avocat Gilles-William Goldnadel déclare ainsi à Atlantico, à propos de la tuerie à Toulouse : « A ce stade, il est urgent d’attendre avant que de commencer à conjecturer. J’ai, malheureusement, une trop longue expérience des attentats antisémites de ces trente dernières années pour savoir que les premières pistes ont rarement été les bonnes et pour me méfier des déclarations à l’emporte-pièce du personnel politique - ou plus encore des associations antiracistes. Mais je ne sais si le drame est en lien avec ce que s'est déjà passé. Une chose est certaine : de la Rue Copernic, en passant par la fusillade de la rue des Rosiers, jusqu’à la triste affaire Halimi, il est clair que le sang juif qui a coulé depuis la Deuxième guerre mondiale ne l’a pas été des mains de l’extrême-droite mais davantage de l’antisémitisme new-age lié soit à l’islamisme soit au conflit moyen-oriental. C’est une certitude absolue. Le fond historique est indéniable ».
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Atlantico : Vous semblez oublier Carpentras et ses tombes juives profanées ?
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Gilles-William Goldnadel : « Carpentras, c’est encore autre chose. On a plutôt agité dans les premiers jours la piste d’émules de Le Pen. Finalement, on a débouché sur des voyous à demi-demeurés aux rites sataniques. Mais à chaque fois on a envoyé dans le mur la communauté juive et la communauté nationale à des fins idéologiques. L’affaire Ilan Halimi est très claire sur ce plan. On a tenté de gommer la dimension antisémite précisément parce queFofana cadrait pas avec le portrait-robot de l'antisémite détestable idéologiquement. Mais il n'est que de regarder les récentes vidéos postées pour constater que Youssouf Fofana se réclame de l’islamisme. Il n’est malheureusement pas douteux qu’Halimi ait été enlevé parce que juif et qu’il a aussi été torturé en tant que juif. Je le dis pour le passé. Mais ce n’est pas pour autant que j’en fais une règle sur l’avenir. La règle que je m’impose et que j’invite aussi les observateurs à épouser est - au-delà de la triste expérience historique que nous avons -, de ne pas instrumentaliser ce drame à des fins idéologiques », conclut Gilles-William Goldnadel.
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De son côté, le site Internet JSS informe : « Démente ! ». C’est par ces mots que bien des Israéliens ont décrit les déclarations de la Chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton. « On la savait anti-israélienne, la voilà officiellement déclarée », ajoutent-ils. « Peut-être devrait-elle prendre sa carte de membre au Hamas ! », concluent-ils. La chef de la diplomatie de l’UE a dressé un parallèle honteux entre l’assassinat de trois enfants et de leur professeur dans une école juive de Toulouse et les jeunes de Gaza. « Quand nous pensons à ce qui s’est passé aujourd’hui à Toulouse, quand nous voyons ce qui se passe à Gaza et dans différentes parties du monde, nous pensons aux jeunes et aux enfants qui perdent leur vie », a dit Catherine Ashton en marge d’une réunion sur la jeunesse palestinienne à Bruxelles. Voilà donc la phrase lâchée. On se demandait qui déraperait en premier.
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JSS : La réponse était évidente : soit Mahmoud Ahmadinejad, soit Catherine Ashton ! Quoi qu’il en soit, le monde entier (ou presque visiblement) a condamné la tuerie de Toulouse. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a qualifié ce massacre « d’assassinat méprisable ». Des enfants âgés de trois, six et dix ans, et un enseignant de 30 ans ont été abattus alors qu’ils arrivaient à l’école Ozar Hatorah. « Seule une personne possédant le mal démoniaque pourrait procéder à un tel assassinat de petits enfants dans une école », a dit le Président de la Knesset, Reuven Rivlin. Avant d’ajouter que l’attaque était dirigée contre les Juifs et Israël. Aux États-Unis, la Maison Blanche a condamné le « scandaleux » massacre. « Nous avons été profondément attristés d’apprendre l’horrible attentat de ce matin », a déclaré le porte-parole du National Security Council, Tommy Vietor.
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JSS : A la Commission européenne, José Manuel Barroso a déclaré : « Je condamne fermement ce crime odieux et exprime mon dégoût pour l’horreur que cette violence aveugle inspire. Rien n’est plus insupportable que l’assassinat d’enfants innocents ». L’indignation du Vatican a également été exprimée, le porte-parole Federico Lombardi du Saint Siège, condamnant « l’acte horrible et odieux », notant qu’il est un nouvel épisode de « violence insensée » en France. Le Premier ministre italien Mario Monti a également exprimé « l’indignation et le cri d’alarme » et a souligné que « l’antisémitisme, la xénophobie et l’intolérance sont tout à fait contraires aux valeurs de l’humanité ». Le Président du Conseil européen Herman Van Rompuy a dénoncéun « crime odieux », le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy a déclaré qu’il était «choqué par la cruauté» de l’acte et son homologue belge a exprimé son « horreur et indignation ».
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JSS : Le ministre allemand des Affaires Étrangères, Guido Westerwelle, a déclaré qu’il était « profondément choqué », ajoutant : « j’espère que les coupables seront trouvés rapidement et appelés à rendre compte. L’antisémitisme et la violence contre des institutions juives ou des personnes de confession juive n’ont pas leur place en Europe et doit être rigoureusement punis ». Le Ministère des Affaires Étrangères polonais a déclaré que « de tels actes de terreur ne peuvent avoir aucune justification et doivent être condamnés sans réserve par le monde civilisé ». La Belgique et les Pays-Bas ont renforcé la sécurité autour des écoles juives et d’autres bâtiments, tandis que les groupes européens juifs ont appelé la France à arrêter l’assassin. « Alors que de nombreux détails sont encore à l’étude, il semble qu’il s’agissait d’une attaque préméditée avec l’intention d’assassiner des enfants juifs », a déclaré Moshe Kantor, président du Congrès Juif Européen, conclut le site Internet JSS.
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Pour ce qui me concerne, et c’est ma conclusion, je note plusieurs points : le monde entier, sans du tout accuser tel ou tel individu ou telle ou telle entité, est simplement bouleversé par ce massacre d’enfants juifs. Le monde entier sauf SOS Racisme qui pointe du doigt « l’extrême-droite » et la Chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton qui se livre à un parallèle avec la bande de Gaza, bande qui – faut-il le rappeler – est sous le contrôle du Hamas et bande qui est, malgré cela, fournie en eau, en fuel et en nourriture par Israël. De cet épisode tragique à Toulouse, l’histoire retiendra donc que les seuls, dans les pays libres et démocratiques, à l’avoir utilisé de façon ignominieuse à des fins idéologiques, sont une citoyenne britannique (Catherine Ashton) et quelques citoyens français (membres de SOS Racisme). Dans les jours à venir, nous devrons nous attendre au pire : car je ne serais pas surpris d’entendre certains alléguer que si des enfants juifs se font massacrer en France, ce serait soi-disant « à cause de la politique menée par l’Etat d’Israël »… MG
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